Publié le vendredi 10 juillet 2015.
La constitution du "pôle fédéraliste breton" répond à la nécessité de rassembler et de mettre sur pied de "nouveaux outils politiques".
L’éventail politique est éclaté, mais insuffisant, et surtout figé autour de concepts idéologiques dépassés et d’un clivage droite/gauche qui n’est plus pertinent.
La crise Grecque est le meilleur exemple, voire le symptôme de l’absence de cohérence du clivage. Les eurosceptiques du front de gauche et du front national se réjouissent des provocations stériles et anti-européennes de Syriza, dont le leader est avant tout adepte du "grand bluff". Front de gauche et FN ensemble pour crier "haro" sur l’Europe dans une vision "populiste" et "nationaliste" de l’histoire. Quel spectacle ! Mais quel avenir ?
Et voila que Tsipras les lâche et accepte de faire les réformes indispensables à toute société équilibrée...
Le fédéralisme a pour principe de base, la subsidiarité (placer le niveau de décision au plus proche du citoyen), qui conduit naturellement à la décentralisation des pouvoirs et à la régionalisation.
Voilà l’avenir d’une Bretagne, terre d’Europe.
Le "pôle fédéraliste breton" rassemble les initiatives suivantes : Breizh Europa (BE), l’Alliance Fédéraliste Bretonne/Emglev Kevredel Breizh (AFB/EKB), [le Parti Fédéraliste Européen-] (PFE-BZH), En-Avant-Bretagne (EAB).