Publié le mercredi 30 janvier 2008.
La recherche de droits protecteurs pour tous ne peut être obtenue à l’échelle d’une seule structure étatique, elle dépend de la mise en place d’institutions internationales efficaces.
« Plus d’Europe et mieux d’Europe », voilà l’objectif primordial, prétendre le contraire est démagogique, dangereux et mensonger…
Quel monde allons nous laisser à nos enfants ? Là aussi la réponse est mondiale, mais chacun, chaque Etat, chaque région, chaque entreprise… doit être sensible au « risque écologique » et initier des pratiques durables et protectrices de l’environnement…
Le monde a changé : la logique de la production cède devant celle du rendement. Le capitalisme a changé de visage, il était « managérial », il est devenu « actionnarial », il était « national », il est devenu « mondialisé ».
Peut-on refuser la réalité en se réfugiant dans des chimères idéologiques du passé, dans le corporatisme ou dans le repli identitaire et nationaliste ?
Ces fausses solutions trouvent aujourd’hui un écho auprès des citoyens français, parce qu’elles les rassurent et leur donnent des repères.
Le monde nouveau tuera les immobiles. Le capital se moque désormais du travail englué dans la terre des nations.
La solution est dans le pragmatisme : Comment faire entrer un progrès dans la réalité (et non idéaliser une utopie).
Nous devons résister aux violences du capitalisme en l’encadrant. l’Europe est ce moyen, « l’Europe est à la mondialisation ce que le syndicalisme a été à la révolution industrielle » : L’outil de protection et de régulation face à une dynamique sauvage…